De nombreuses femmes DJ, productrices et boss de labels viennent d’Italie. L’Italie a toujours et a su rester un berceau des arts. Des artistes, penseurs, musiciens et couturiers y sont nés et y ont vécus, d’autres sont venus s’intaller sur ces terres pour puiser, s’inspirer, apprécier ses vestiges antiques, son histoire et sa culture. L’art nouveau a fait ainsi place à de nouveaux arts.
Rome, Milan, Turin, Florence, Naples, Venise, Palerme, Bologne,… A chaque ville son patrimoine et sa modernité et ces femmes de la scène underground héritières de leurs traditions, fières, ont su apporter leur touche uniques et moderne. Découvrez qui sont les talents féminins qui ont pris le contrôle aux du Nord au Sud de l’Italie ?
01. Francesca Lombardo
© Francesca Lombardo
Francesca Lombardo a cultivé un son qui lui est propre, représentatif de son parcours musical pluridisciplinaire et qui transcende la piste de danse par un récit émotionnel de paysages sonores rêveurs, de mélodies émouvantes et de rythmes hypnotiques. D’origine italienne et de formation classique, Francesca a tracé son chemin dans la musique électronique. Elle a parcouru le monde en tant que DJ et interprète live et a participé à des spectacles monumentaux tels que IMS Dalt Villa, Burning Man, Tomorrowland, Get Lost et Circoloco. En parallèle, Francesca s’est constitué un formidable back-catalogue de musique sur des labels réputés : Crosstown Rebels, Mobilee, Leftroom, One Records ainsi que ses propres labels Echoe et Echolette, entre autres. Repoussant toujours les limites au nom de la créativité, le spectacle de Francesca voit des ensembles instrumentaux de tailles diverses exécuter ses productions complexes, tandis que sa finesse en tant que DJ et ses prouesses vocales indéniables la distinguent encore davantage de la foule.
Entrant maintenant dans une nouvelle phase de sa carrière, Francesca se prépare à dévoiler son premier album, une collection de chansons représentant l’essence de ce qu’elle est. Un LP qui est avant-gardiste, puissant et fait avec le cœur. Des musiciens en chair et en os y participent, fusionnant le monde de la musique électronique avec l’éducation classique de Francesca, dans le but d’élever et d’engager les gens de tous horizons. Le résultat est une combinaison de grandes compositions, associées à des numéros subtils et nuancés. Il ne fait aucun doute que la passion de Francesca et sa volonté d’innover dans le domaine de la musique lui servent de carburant pour rester inspirée et pertinente, et qu’elle est destinée à faire la bande-son de nos vies pour les années à venir.
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02. Giorgia Angiuli
© Giorgia Angiuli
Née dans les Pouilles, également connues comme le talon de la botte italienne, Giorgia est une compositrice et multi-instrumentiste. Elle fait partie du projet We love sur Bpitch Control Records et elle est résidente au Tenax Club 1.0 à Florence depuis 2 ans. Après une formation musicale classique, Giorgia a développé en peu de temps un intérêt profond pour la musique électronique et a commencé à expérimenter de nouvelles techniques live. Dès son premier projet Metùo, elle a cherché à créer une performance multi-sensorielle mêlant sons, images et parfums. Elle n’a jamais cessé de rechercher intensément l’interaction avec son public.
En 2010, avec son projet audiovisuel WE LOVE, elle a conclu un accord d’exclusivité avec le label Bpitch Control et s’est produite dans de nombreux clubs internationaux. En 2013, elle a commencé sa résidence au club TENAX (Florence, ITALIE). Cette expérience lui a donné la chance de tester un nouveau style, en créant des lives toujours différents et en ayant l’opportunité d’improviser constamment sur scène. Giorgia Angiuli a également composé des bandes sonores pour des films, des publicités et des défilés de mode en collaborant avec de nombreux musiciens reconnus. En 2014, elle a fait partie du légendaire label techno KMS de Kevin Saunderson, à partir de décembre de la même année, Giorgia Angiuli est représentée en Italie par La Terra Management, l’agence fondée par DJ Ralf. Giorgia Angiuli anime actuellement une émission radio Live is More en collaboration avec l’agence du même nom sur les ondes de Soundzrise présentant notamment ses live les plus impactants qu’elle a joué dans le monde.
Le projet solo de Giorgia oscille stylistiquement entre pop, techno et house. Elle utilise sa voix pour créer une dimension onirique intensifiée par l’utilisation d’instruments jouets uniques. Pendant son concert, elle combine des claviers, des pads de batterie et des thérémines avec les sons de flûtes, de saxos, de trompettes et de nombreux autres jouets. En mélangeant tous ces échantillons et boucles, elle crée un groove vibrant et énergique qui met le feu à la piste de danse. Elle vit actuellement à Florence.
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Naples
03. Deborah De Lucca
© Deborah De Lucca
Aucune description précise de la culture de la musique électronique ne serait complète sans une mention spéciale de Deborah De Luca. Largement reconnue comme l’un des porte-drapeaux les plus éminents de la techno au niveau mondial et régulièrement présente dans les cabines de DJ les plus distinguées du monde, Deborah a la capacité unique d’envoûter les foules avec ses sets chargés d’électricité et techniquement nuancés, fusionnant la techno dure avec des grooves minimaux et des paysages sonores mélodiques pour un effet absorbant. Pionnière dans l’utilisation des réseaux sociaux comme outil de promotion, tout en parvenant à conserver un sens aigu de la discrétion dans sa vie privée, Deborah n’a pas son pareil pour faire preuve de détermination et de passion, et mérite pleinement son statut actuel d’un des plus grands talents de la scène techno internationale de ces dix dernières années.
Née à l’ombre des tristement célèbres Vele di Scampia – l’un des quartiers les plus durs de Naples – cette DJ, productrice et directrice de label aujourd’hui reconnue dans le monde entier a connu des débuts modestes, se frayant un chemin vers le succès international contre toute attente. C’est pourtant ce qui allait devenir son métier. « Vous ne devriez laisser personne vous dire ce que vous pouvez ou ne pouvez pas devenir », explique-t-elle dans une rare interview, en évoquant ses premiers moyens de subsistance en tant que danseuse de boîte de nuit. « C’est vrai, ces dernières années, j’ai gagné en popularité, mais je suis très reconnaissante pour le long chemin que cela a pris ». Plus que toute autre chose, les racines de Deborah et son éthique inébranlable font partie intégrante de l’artiste florissante que nous voyons devant nous aujourd’hui.
Deborah a passé les années formatrices de sa carrière musicale dans le nord de l’Italie, après un bref passage à l’école de mode de Modène. Se faisant les dents sur le circuit des clubs européens, où elle a rapidement compris que la musique était sa véritable vocation, le travail acharné et la détermination sans relâche de Deborah ont fini par porter leurs fruits et en 2013, elle a lancé son propre label Sola_mente Records. Créé comme une plateforme permettant de publier sa propre musique, sans pression créative ni contraintes externes, le label a connu une progression fulgurante et, en novembre 2018, Deborah a marqué une décennie de carrière dans l’industrie avec la sortie de son premier album « Ten », acclamé par la critique. Une étape importante pour la productrice italienne, ‘Ten’ a représenté un rite de passage important et un corpus d’œuvres qu’elle chérira indéfiniment.
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04. Anfisa Letyago
© Anfisa Letyago
Anfisa Letyago, originaire de Sibérie, est devenue rapidement l’une des leaders de la nouvelle génération en matière de musique électronique. Adoptée par la ville italienne de Naples dès son plus jeune âge, son parcours musical a commencé en 2010 où elle s’est d’abord faite un nom sur la scène des clubs italiens en tant que DJ. L’endroit où Anfisa Letyago se sent le plus à l’aise est derrière les platines car elle mixe habilement les différentes influences qui caractérisent son parcours musical. À sa musique, à dominante techno, elle ajoute des sons plus groovy qui rendent ses sets irrésistibles. Jeune, talentueuse, charmante et charismatique, Anfisa Letyago est à découvrir sans plus attendre.
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Milan
05. CORA
© CORA
CORA est une artiste techno qui ne se contente pas des vérités reçues, une libérale viscérale pour qui tout système est étriqué, qui existe en perpétuelle révolte contre la condition humaine et l’ordinaire. Après un parcours incohérent et flou dans la musique, du classique au pop-rock, en passant par la musique électronique, CORA revient avec la techno.
CORA est relativement nouvelle sur la scène de la musique techno, mais elle avance rapidement dans l’underground. Elle a accumulé quelques expériences à Florence entre le Tenax Club (où elle a appris l’art du DJ-ing), Tropical Animals (avec sa résidence de courte durée), et plusieurs concerts et raves underground entre la Lettonie, Kiev, l’Allemagne, la Suisse et Dubaï. La première approche de CORA à la production de musique électronique commence avec son premier album Insurgent sur Three Hands Records, suivi de « Hushed War » sur Tenax Recordings.
Comme CORA le dit :
« À ce moment de ma vie, la techno est la forme d’art puissante dont je dispose pour exprimer mes émotions, mes dissidences, pour me rapprocher de la liberté et m’aliéner. »
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06. Em
© Marialoredana Zicarelli
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07. Caterina Barbieri
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Caterina Barbieri est une compositrice et musicienne italienne actuellement basée à Milan. Son travail explore les effets psycho-physiques de la répétition et des opérations basées sur des motifs dans la musique, en étudiant le potentiel polyphonique et polyrythmique des séquenceurs pour dessiner des géométries complexes dans le temps et l’espace.
L’approche de la pratique musicale en tant que rétroaction cognitive intégrative entre les humains et la technologie est au cœur de sa recherche sonore actuelle, qui se concentre sur l’utilisation créative de l’informatique et des techniques de séquençage complexes pour déclencher des hallucinations temporelles et spatiales, explorant souvent des états de transe et de concentration émotionnelle.
Barbieri a récemment signé sa première bande originale de film pour « John and the Hole » de Pascual Sisto, qui a été sélectionnée à Cannes en 2020 et à Sundance en 2021, ainsi que la musique de défilés de mode de Fendi, Gucci, Calvin Klein et Off-White. Elle est également la fondatrice de la plateforme de label indépendant light-years.
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08. Paquita Gordon
© Paquita Gordon
Originaire de Milan, Paquita Gordon est maintenant basée à Majorque, Paquita Gordon commence son parcours en tant que DJ, promotrice et directrice artistique en 2008. Elle fonde le collectif « AV-Netwerk » entre Londres, Berlin et Venise, où elle réalise un djset de cinq heures sur la Piazza San Marco. En 2013, en Sicile, elle constitue « il Vulcano », une association culturelle qui dirige des festivals de musique (« Stereocybele » et « Capofaro Space & Sound », dans les îles de Pantelleria et Salina), et en 2016, elle dirige une émission de radio de douze heures sur l’île de Stromboli avec la participation de Roberto Cacciapaglia et Gigi Masin et présente « Paroxysm », un live set expérimental basé sur des enregistrements de terrain volcaniques réalisés par Robert Lippok et Giuseppe Cordaro. Éternelle Vinyl Lover, sa musique n’a pas de frontières cosmique et terrestre
Son talent dans l’utilisation des platines l’a amenée à jouer dans des musées et des centres culturels comme l’ICA – Institute of Contemporary Arts à Londres, le PAC – Padiglione di Arte Contemporanea et le Pirelli Hangar Bicocca à Milan pour l’inauguration de la XXI Esposizione Internazionale de la Triennale di Milano « 21st Century Design After Design ». Elle consolide son travail avec la Triennale en jouant des sessions devant 10.000 personnes pour l’ouverture de la Semaine du Design 2017 en présentant le projet exclusif « Italian Music. Antologia in vinile a cura di Paquita Gordon » et pour l’édition 2018 avec « Mar Mediterraneo. Musique et paysages sonores par Paquita Gordon et Filippo Brancadoro sur Tropic Disco Sound System, avec une participation spéciale de Nino Errera aux percussions ».
Elle a joué à chaque édition du festival de musique expérimentale et durable Terraforma à Villa Arconati, a livré de grands sets à Epizode (Phu Quoc, Vietnam) et au festival Dekmantel (y compris une performance à la Boiler Room), a joué dans des clubs comme Berghain Panorama Bar (Berlin), De School (Amsterdam) et Circoloco @ DC10 (Ibiza), a participé aux tournées musicales internationales David August en 2016 et 2018 et a une résidence au Club Plastic Milano. Durant l’été 2018, elle a réalisé un mix exclusif pour la célèbre série de podcasts de Resident Advisor.
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Bologne
09. Ilary Montanari
© Ilary Montanari
Résidant à Bologne, la capitale italienne de la nourriture et de la musique, Ilary Montanari est l’un des secrets les mieux gardés de la musique électronique. Elle a débutéé sa carrière en 2014, en faisant tourner de la house dans de petits clubs de la ville, se méritant une résidence dans l’un des événements les plus excitants de Bologne ‘051 Party Bologna’. Déterminée à mener sa carrière vers de plus grands sommets, Ilary a commencé à produire de la deep house en 2015, influencée par les icônes old skool Little Louie Vega, Frankie Knuckles, Deep Dish et Dennis Ferrer. Sa première sortie, « Deep In My Soul », a été reprise par le label italien New Creatures, donnant le coup d’envoi de son aventure en tant qu’artiste professionnelle.
Au fil du temps, l’approche d’Ilary a évolué pour s’adapter au paysage toujours changeant de la house, développant une marque distinctive de tech house composée de lignes de basse entraînantes et de percussions latines, souvent associées à des voix hispaniques. Malgré la commercialisation de la scène ces dernières années, elle est invariablement restée fidèle à ses racines, délivrant constamment un son brut et authentique qui a permis à sa musique de se démarquer dans une industrie fortement saturée.
2018 a été l’année de la percée d’Ilary. Son single à succès ‘Morenita’ a été immédiatement happé par Flashmob Records, donnant lieu à l’une des collaborations tech house les plus réussies de 2018. Il a fallu près de deux mois pour que l’original perde finalement sa place dans le classement Traxsource Top 100, tandis que le remix du titre par le patron du label Flashmob a gagné plus de 10 Millions de streams dans le monde.
Au tournant de l’année, Ilary avait obtenu un certain nombre de sorties sur les labels respectés Klaphouse, Natura Viva et l’imprint de Supernova, Lapsus Music. En 2019, l’amitié d’Ilary avec Flashmob et le label a porté un autre fruit : » La Pluma « , un album sud-américain qui capture le même esprit latin et brut qui a catapulté » Morenita » dans les charts. Il n’est pas surprenant que le patron du label, Alessandro, n’ait pas pu résister à l’envie d’y mettre son grain de sel avec un autre remix de Flashmob.
Aujourd’hui, vous pouvez trouver Ilary sur scène dans toute l’Europe, avec des apparitions aux festivals Sonar et ADE à son actif et un éventail de sorties de haut niveau sur des labels tels que Happy Techno, Material, Basica Recordings, Freakin 909, Ocean Trax et Safe Music.
De plus, selon les propres mots d’Ilary, « le meilleur reste à venir« .
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Florence
10. Matisa
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Matisa est une DJ et productrice Italienne. Elle a toujours été obsédée par le « sens de la beauté », et a toujours fouillé et choisi ce qu’elle considérait comme beau et intéressant pour elle. Née à Rome, Matisa actuellement basée à Florence, la capitale italienne des arts, Isabella (alias Matisa) s’est branchée sur son son, créant sa propre énergie qui est brillante, bouillonnante et émotionnelle. Jusqu’à l’âge de 13 ans, la jeune musicienne joue à la fois du piano et du hautbois ; cependant, elle commence à sentir que son expression créative est limitée, c’est là qu’une carrière de dj’ing et de production musicale commence à prendre forme…
Avec une forte volonté de renforcer l’esprit « dance floor », les productions de Matisa sont nées pour inspirer l’expression corporelle et se perdre dans l’instant. Avec des sorties sur des labels tels qu’Optimo Music, Biologic Records et Butter Sessions à ce jour, Matisa a déjà posé des bases solides pour l’avenir.
Matisa a toujours cherché d’autres moyens de s’exprimer artistiquement et, en 2018, elle a commencé à dessiner dans le monde de la mode et a obtenu un master en gestion de produits de mode à Polimoda, l’un des dix meilleurs instituts de mode au monde. Ne connaissant aucune limite à l’influence artistique et gardant des liens étroits avec cette industrie, Matisa ne se contente pas de travailler et de collaborer avec les plus grandes marques et les créateurs de talent, mais elle relie de manière transparente et authentique ces carrières et ces passions.
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Rome
11. Lady maru
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Maru Maruhup alias Lady Maru a commencé à produire de la musique en 1994 avec une guitare électrique, quelques percussions jouets et un enregistreur 4 pistes Tascam. Elle devient rapidement active en tant que guitariste noise et joueuse de casio pour des groupes post punk et no wave.
Sa carrière de dj a commencé en 2003 au Metaverso, un petit club « culte » à Rome, et dans des raves et des soirées underground en essayant de combiner deux influences : le post punk et la techno. Son son actuel en tant que productrice et dj est principalement basé sur l’acidtechno avec des influences industrielles et ebm.
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12. Ameliée
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Valentina Ameliée, plus connue sous le nom d’Ameliée, est née à Rome en 1988. Elle est très jeune quand elle tombe amoureuse de la musique techno pour la première fois, et commence le premier voyage autour de la découverte de ces sons et beats qui auraient rempli sa vie. En 2010, elle commence à jouer à Rome dans différents clubs importants tels que Locanda Atlantide, PiperClub, AkabClub, Circolo degli Illuminati, Qube et à Turin au Caffè del Progresso et Lab.
Ayant découvert que la musique était en train de devenir sa vie, elle a commencé une nouvelle aventure avec une nouvelle figure féminine qui est devenue sa partenaire, Aghnes. En essayant de combiner leur amour pour la musique techno et les suggestions de leurs amis, elles donnent vie à un nouveau projet féminin : SHE MADE ! Ce projet prend de l’ampleur, et grâce à toutes les personnes qui ont cru en ces deux jeunes femmes, She made atterrit enfin au Rashomon Club. Le Rashomon Club donne à ces 2 « She Maders » la possibilité d’avoir leur propre soirée une fois par mois, et dans toute la capitale, la journée du mardi devient immédiatement reconnaissable comme celle de She Made !
Son son enveloppe les gens et les fait tomber amoureux ; sa passion pour la musique house et techno lui permet de créer les djsets les plus disparates et les plus excitants.
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13. Aghnes
© Debora Saveriano
Agnese « AGHNES » Valentini née à Rome en 1989. Cofondatrice, avec sa partenaire Ameliée, de She Made un concept de label de fête féminin né en 2013 entre le stand du Rashomon Club / Rome. Ce projet commence à grandir et à devenir plus grand grâce aussi à toutes les personnes qui ont cru en ces deux jeunes filles finalement She Made est devenu l’un des 10 événements les plus en vue en Italie, approché à partir de 2017 au Goa Club Rome. La passion d’Aghnes pour les sons profonds et minimaux a commencé quand elle avait 18 ans, elle a commencé à voyager à travers l’Europe pour collecter des disques et explorer la scène Underground.
Des sons acidulés et breakbeats caractérisent son style. En 2015, Aghnes a déménagé à Londres où elle est devenue DJ résidente d’une célèbre soirée de label de marque ‘ We Play the Music We Love’ à partir de ce moment-là, elle entre dans la scène underground de Londres et a commencé à jouer dans les clubs les plus populaires tels que Fabric, EGG, Basing House, BAR 512, XOYO, Bloc. et de nombreux événements underground entre Londres et Berlin comme Keep on Going, Grooves London, Point., The sunday Afters, Plattenkiste, et beaucoup d’autres.
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14. Erica Menei
© Erica Menei
Venant du monde de l’art et de la performance avec plus de 12 ans passés à étudier le ballet, Erica Menei est le genre de deejay qui aime mélanger les sons et expérimenter derrière la cabine de deejay. Elle est née et vit à Rome où, en 2011, elle a commencé à collaborer avec Wonder Wet Records, label de disques et agence de réservation de deux grands professionnels de l’industrie, Sergio Picciaredda et Attilio Tucci. Après cette expérience, elle a décidé d’investir dans sa croissance en tant que productrice professionnelle, en étudiant les bases de la composition pour la musique électronique.
Cofondatrice et A&R de Talkischeap Records, le label a été fondé en 2013, la même année que son premier EP – The Ghosts Are Gone. De 2015 à 2019, Erica est également l’une des DJs résidentes de la famille She Made, un projet entièrement féminin né dans les murs de l’historique Rashomon Club, repère du clubbing romain. Partie résidente du Goa Club lors de la saison 2017/18, elle est également passée par Fabric à Londres et Golden Gate à Berlin.
Parmi les dernières et plus importantes collaborations pour Erica, on peut citer : Sanctuary de Rome, Volt Club de Milan, Polifonic (Alternate Festival 2020) et son EP Jizho , uniquement en vinyle, sorti en septembre dernier sur Roof Records.
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15. Sara Siu
© Chiara Seta
Née, élevée et évoluant musicalement au sein du collectif exclusivement féminin de She Made, un projet conçu au sein du célèbre club Rahomon de Rome, Sara Siu (Sara Grassia) a également eu la chance de jouer dans des endroits réputés tels que Fabric London, GoaClub à Rome et Tom à Milan.
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16. ACIRNE
© Acirne
Le son d’Acirne est une conversation fluide dans laquelle convergent la house, la techno et l’électro les plus raffinées. Des grooves intenses défilent le long de beats rythmés et gracieux, et racontent des histoires à la fois hypnotiques et raffinées. Depuis 2013, Acirne appelle Berlin chez elle, et continue de développer et d’étendre son style en tant que DJ et productrice, se produisant sur la scène underground de la capitale allemande et à travers l’Europe.
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01. SUNRUSH
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SUNRUSH dérive de son nom Rosalba Carucci, qui comprend « aube » et donc le soleil, SUN, tandis que RUSH peut avoir différentes significations, mais dans ce cas, il représente le bruit qui naît en chacun de nous, et la musique Techno qui l’englobe et lui donne forme.
Au fil des années, sa passion grandit de plus en plus et il commence donc à faire des concerts avec des amis, se rapprochant de plus en plus du concept de la fête en général.
Elle a ensuite joué dans des clubs et des discothèques de la région grâce au soutien de certaines organisations du secteur.
Bien qu’elle soit encore jeune, sa passion dépasse toute limite et tout obstacle, et c’est pourquoi son objectif est de grandir, avec l’intention de transmettre à tous ce fort amour pour la musique, avec la succession de productions musicales, en se plongeant de plus en plus dans le langage profond de la musique et des sentiments qu’elle provoque.
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17. Camilla Pisani
© Camilla Pisani
Camilla Pisani est une artiste audiovisuelle basée à Rome. Elle recherche l’interaction entre l’espace, les sons et les signes graphiques abstraits. Sa musique est hybride, évoluant dans un ensemble d’influences : ambient, drone, soundscape, soft noise, et électronique minimale. Elle compose des enregistrements de terrain, des atmosphères suspendues, des textures hypnotiques marquées par des rythmes concrets.
Camilla Pisani mène aussi undeuxième projet, Blue Like A Paradox (BLAP), entièrement basé sur l’utilisation d’instruments analogiques avec lesquels elle crée des atmosphères sombres et des ambiances surréalistes rendues vivantes par des impulsions rythmiques obsessionnelles et martelantes. Elle évolue autour de sons minimalistes et décadents, de timbres industriels et schizophréniques, de jeux d’altérations spatio-temporelles avec lesquels elle construit et façonne des sculptures résonnantes d’une terrifiante ambiguïté.
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18. Silvie Loto
© Silvie Loto
Silvie Loto est une « guerrière douce ». Elle fait partie de ces personnes qui ont un amour profond pour la musique, qu’elle aborde avec une intensité exceptionnelle. Et bien sûr, elle fait aussi partie de ces personnes qui ont un parcours extraordinaire pour un DJ/producteur : DJ résidente dans deux des plus importants clubs italiens et européens tels que le Tenax à Florence et le Goa à Rome ; DJ sets à travers l’Europe depuis des années ; elle a joué dans des sanctuaires des Baléares tels que Music On, Paradise et Circoloco au DC10 ; sorties sur des labels qui ont façonné l’histoire de la dance music contemporaine comme BPitch Control d’Ellen Allien.
Mais là n’est pas la question. À une époque où l’art du DJ est trop souvent considéré comme un moyen d’atteindre la célébrité le plus rapidement possible, ce DJ/producteur italien travaille depuis plus de dix ans dans une autre direction et avec une autre attitude. Chacun de ses DJ set est réalisé avec un soin méticuleux, suivant le concept de voyage et d’exploration : si la techno et la house sont les deux terrains sur lesquels on peut construire des édifices solides et majestueux, ce qui rend Silvie vraiment spéciale – et vraiment une guerrière – c’est l’attention avec laquelle elle combine différents éléments, des références historiques et des explorations sur le fil, ainsi que des coups au cœur et un vertige extraordinaire.
Elle ne fait pas partie de ces DJ qui sont simplement à la recherche du son du moment. Elle n’est pas ce type de DJ qui cherche soigneusement à donner une auto-représentation claire et reconnaissable. Elle est plutôt un type de DJ qui peut explorer, qui peut prendre des risques et renoncer à la voie la plus facile et choisir une meilleure voie, celle qui est plus satisfaisante sur le plan personnel – étant quelqu’un qui aime l’art et la créativité à son maximum. Elle n’a jamais été sujette à l’arrogance, à la superficialité ou à la commodité, mais s’est plutôt concentrée avec acharnement sur ce qu’elle est capable d’être : la profondeur, le contenu et la beauté dans les espaces et dans les histoires de la culture des clubs la plus authentique et la plus noble. Celle que l’on devrait toujours être capable de reconnaître. Celle qui donne la satisfaction la plus intense.
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19. Sara Simonit
© Sara Simonit
Sara Simonit, DJ et productrice, est née et a grandi dans une petite ville près de Venise,
Italie où son amour de la musique électronique, et plus particulièrement de la techno, est né d’une introduction précoce aux clubs et à la vie nocturne grâce à son appartenance à un groupe musical et créatif. Une introduction précoce aux clubs et à la vie nocturne grâce à son appartenance à une famille musicale et créative.
En tant que l’un des nouveaux talents de la techno, Sara est de plus en plus reconnue en Europe et au-delà. Sara a sorti quelques disques importants sur des labels tels que Second State de Pan-Pot, Tronic de Christian Smith, Elevate de Pig & Dan, Suara de Coyu et Transmit de Boris, pour n’en citer que quelques-uns. ses dernières productions sont soutenues par des artistes tels que Carl Cox, Sasha, Joris Voorn, 2000 and One, Pan-Pot, entre autres.
Sara s’est inspirée de quelques-uns des meilleurs groupes techno, de Len Faki à Ben Sims, en passant par les plus grands. Faki à Ben Sims, et DJ Bone à Pan-Pot, tout en conservant et en perfectionnant ses compétences. En délivrant des sets techno raffinés avec sa personnalité amusante et énergique qui fait vibrer les dancefloors pendant des heures.
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20. Carola Pisaturo
© Carola Pisaturo
Carola Pisaturo est une pionnière en la matière. Depuis l’arrivée de la techno, cette femme cultive des grooves fluides et plastiques avec l’expertise d’un botaniste électronique. Pour en avoir plein les yeux, il faut la voir jouer devant une foule, où qu’elle se trouve, qui apprécie rapidement comment elle traduit en bonté florissante toute l’énergie qu’un spectacle pour les yeux doit entretenir pour rester à flot des machines machistes.
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21. ZØE
© ZØE
En cours de réalisation.
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22. DEBBIE
© Antonietta Canzanella
Debbie, de son vrai nom Antonietta Canzanella, est née à san marcellino en caserta. Depuis l’année dot, elle entretient une forte vocation pour la musique électronique. Dans son adolescence avec le premier projet » dj dèb « , elle fait les premières approches avec les dancefloors casertani, dans les petits clubs et les bars lounge. Après de nombreux retours positifs au fil des ans, elle est appelée en 2016 » emphasis maraton lady » à Caserta, où pour la première fois elle a l’occasion de comparer et de diviser la console, en ligne avec trois des meilleures têtes d’affiche de la scène techno, telles que : Marika Rossa, Fernanda Martins et Candy Cox.
Suite à ça, elle commence sa carrière professionnelle, partageant la console avec de nombreux artistes épais, tels que : Gary Beck, Fjaak, Kobosil, Dasha Rush, Fatima Hajji, 999999999, Luciano Lamanna, Alex Dolby, Black Asteroid, Hadone, Paula Temple, I Hate Models et bien d’autres. Dans la nuit de la fin de 2019, elle fait ses premiers pas dans le line up du « Cosmo Festival » qui encadre sa carrière, avec des performances invalidantes dans les grands clubs de l’interland italien comme : Dolcevita Italian Discoteque (sa), Golden Gate (na), Atlantico (rm), et beaucoup d’autres. En février 2020, elle fait ses débuts en belgique à la soirée d’ouverture du common à anvers. Debbie est toujours à la recherche de nouveaux sons expérimentaux, projetés vers une production musicale très transversale et dynamique. sort son premier single « Omertà » via Insane Industry en décembre 2020.
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23. Bez Yorke
© Bez Yorke
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24. Adiel
© Adiel
Après avoir pris l’habitude de faire danser les foules dans une profonde extase avec ses sets hypnotiques lors des célèbres soirées Goa Ultrabeat à Rome, où elle opère en tant que DJ résidente, Adiel a lancé son propre label, Danza Tribale, en 2016 avec un solide premier versement, Anatomia Del Cavallo’, qui invitait les nouveaux ravers et danseurs à se joindre à ses fantaisies musicales densément boisées où des motifs mélodiques tourbillonnants, des atmosphères inquiétantes et des rythmes 4/4 envoûtants coexistent dans une sorte de communion ravissante.
En orbite autour de sa propre production, Danza Tribale a pour but de fournir une plateforme d’atterrissage sur mesure pour les dynamiques techno à la fois obscures et profondes, tour à tour sauvages et retenues, instinctives et sophistiquées, fonctionnelles mais loin d’être simplement outils. Tout juste après la sortie de son dernier EP, Ritmo, Adiel frappe à nouveau avec Tokyo, suivi de l’EP Cavallina, où elle s’est associée à la légende italienne de la dub techno Donato Dozzy pour sculpter une mosaïque véritablement hallucinante de tambours retardés, d’accents acides furtifs et de mouvements de basse roulants. En juillet 2019, elle est revenue avec Musicofilia, son premier LP en dehors de son propre label, sur l’empreinte ara de Kangding Ray. Adiel a cette fois livré des morceaux qui conviendront à une variété de dynamiques spatio-temporelles, tout en restant façonnés pour le club. En février 2020, sur son imprint Danza Tribale, elle a sorti un nouvel EP passionnant en collaboration avec l’une des figures les plus respectées de la scène techno, le patron du label Northern Electronics, Anthony Linell.
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25. Camilla Green
© Camilla Green
Camilla Green se distingue par son dynamisme et sa vivacité. Née en Australie, elle a déménagé en Italie en apportant de nouvelles influences pop australiennes. Ses sets éclectiques sont basés sur des morceaux profonds pour évoluer dans des nuances Techno, House Chicago et Detroit. Un flot difficile à défendre. Jamais dramatique, jamais sombre, elle exprime la joie de la piste de danse et du divertissement.
Camilla a sa propre définition :
« Je suis fascinée par la relation qui existe entre moi et le dancefloor : Nous ne sommes pas la somme de deux choses distinctes… C’est incroyable ! Nous ne sommes qu’une seule et même entité. La piste de danse comprend si je suis heureux ou triste ! L’élément humain dans ce travail est tout. »
Green vit maintenant à Rome et en 2011, elle a rejoint le Wonder Wet Records juste pour s’amuser, posant pour quelques couvertures d’étiquettes et collaborant à son projet avec Sergio Picciaredda et Attilio Tucci. Actuellement, en plus de jouer dans divers clubs de la ville, elle travaille sur son troisième single 12″. Toujours à la recherche de nouveaux défis, elle a également lancé sa ligne de bijoux « Raquel » les véritables œuvres uniques faites à la main dans le respect de la grande tradition italienne.
« La musique a son propre langage, elle communique uniquement par le fait qu’elle existe. Mais derrière la musique, il y a toujours quelqu’un qui la produit et qui la joue ».
26. Idå Mandatø
© Idå Mandatø
Ida Mandato est née dans un petit village de la région de Calabre, en Italie, en 1989. Séduite par la musique et plus généralement par toutes les formes d’art, elle s’installe à Rome en 2009, où elle s’est ouverte à un plus large éventail de nouvelles expériences. Elle a étudié l’histoire de l’art à l’université, tout en se lançant dans son propre voyage derrière la console ; elle a fait ses débuts en 2013 avec Crew Female Cut à Rome et a également collaboré avec Animal Social Club, où elle est devenue DJ résidente après avoir joué de la musique pendant un an au club.
Au fur et à mesure que sa technique s’affine et que sa capacité à s’exprimer à travers sa propre musique augmente, elle devient de plus en plus connue et appréciée dans toute la capitale italienne d’abord, à Rome, puis dans toute l’Italie et aussi en Europe. Voyageant souvent entre ses deux villes de prédilection, Rome et Berlin, elle a ainsi enrichi son son, se promenant à travers l’histoire de la Ville éternelle, des sons techno sombres, expérimentaux et ambiants, aux sons les plus crus et violents de la musique industrielle, inspirés par un Berlin très moderne et fervent.
Elle a des dizaines de collaborations à son actif. DJ résidente du Risonanza Project, Ida a pu jouer aux côtés de grands artistes tels que Front 242, et a toujours laissé sa marque sur tous les événements auxquels elle a participé. En 2019, elle a obtenu son diplôme après 2 ans d’études en production de musique électronique et son. Ingénierie. Elle travaille actuellement en tant que technicienne audio, vidéo et lumière pour des spectacles en direct et en tant que consultante musicale pour la télévision. Parallèlement, elle s’est également produite pour différents événements.
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Resident Advisor
Turin
27. DENAILA
© Denaila
Denaila est un jeune talent turinois, qui vient à déjà réaliser un certain nombre de productions pour le label parisien RA+RE et un prochain featuring avec Recordeep.
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Palerme
28. Giolì & Assia
© Giolì & Assia
Giolì & Assia est un jeune duo italien de productrices, multi-instrumentistes, chanteurs, auteurs-compositeurs, fondatrices de labels de disques et DJs live, créant une musique qui mélange les styles house, indie et pop qui leur est propre. Giolì joue du piano, du violoncelle, de la batterie, de la guitare et du handpan, et Assia s’occupe du chant principal et de la guitare. Bien que leur relation ait commencé en tant que manager et artiste, le partenariat créatif s’est développé en un duo de production et d’écriture de chansons en 2016. Plus tard cette année-là, ils ont fondé leur propre empreinte de label de disque pour distribuer leur musique, Diesis Records.
Ils ont lancé le projet en 2017 avec le single « Stay Closer », suivi de « Endless », « Paradise to Share » et « How Can I ». En mars 2018, ils ont sorti leur premier album, Istantanee, avec le single principal « Starry Nights » qui a fait ses débuts devant TimeOut72, un festival de musique massif en Inde. En mai 2018, le duo a sorti le single « Something Special » avec Spinnin’ Records, qui leur a valu suffisamment d’attention pour leur première résidence à Ibiza au Privilege. Giolì & Assia ont été tellement inspirés par leur séjour à Ibiza qu’ils ont sorti leur deuxième album de 2018, Night Experience, sur leur propre label Diesis Records. « Mad in Love » était le premier single, et avec lui, ils ont affiné leur mélange unique de techno mélodique et de pop.
L’année 2019 a vu une floraison de productions créatives avec la sortie de singles comme » Feel Good « , » Blame On Me » et » Inside Your Head « , ainsi que leurs propres reprises créatives de » These Boots Are Made for Walking » de Nancy Sinatra et » Fever » de Peggy Lee. Le duo ne s’est pas arrêté là et a sorti des titres originaux, « Blind », « Breathing » et « Emptiness » (ce dernier a été diffusé en avant-première par MixMag), qui témoignent de leur volonté de devenir des conservateurs mondiaux dans le domaine de l’électronique en direct.
N’étant pas du genre à se reposer sur leurs lauriers, Giolì & Assia ont lancé la série #DiesisLive en avril 2019, une diffusion en direct sur Youtube et Facebook de leur spectacle live explosif avec des millions de vues, mêlant musique électronique, instrumentation et chant en direct. Toujours enclins à se surpasser, ils ont filmé les volets suivants de #DiesisLive au sommet d’un volcan en direct dans les îles Éoliennes, au théâtre Andromède dans la province d’Agrigente, et sur l’Isola Delle Femmine, dans leur ville natale de Palerme, en Italie. La dernière session live, sortie en décembre 2019, a été enregistrée au volcan Etna en Sicile. Actuellement, elles sortent leur premier EP sur Ultra Music Records, avec les morceaux suivants « For You », « Hands On Me », « Rollercoaster », « Your Lullaby » et pour finir une collaboration avec Mahmut Orhan sur le single « Lost ».
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Francavilla al mare
29. DJ Tess
© Caterina La Cioppa
DJ et productrice née en Italie et basée à Londres, Giulia Campanella aka DJ TESS tire la sonorité du riddim vers le côté obscur de l’électronique percussive d’une manière rafraîchissante et sans effort. Codifier la variété d’influences que renferme DJ Tess est comme un voyage dans un labyrinthe : difficile, excitant et pourtant gratifiant à la fin.
Sa palette musicale est large et éclectique, avec des influences telles que la jungle, le dancehall, la musique italienne du sud, parfaitement mélangées au Grime, à la Techno et à la Bass music, créant ainsi son propre style unique et polyvalent. Parallèlement à ses projets de production, Giulia joue régulièrement dans les clubs londoniens et est également DJ résidente à Threads Radio. Elle est apparue sur NTS, BBC radio 1xtra, Balamii et Reprezent Radio en tant que DJ invitée, soutenant de manière proactive et s’engageant auprès de ses collègues.
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30. Mala Femmina
© Giulia Campanella
Mala Femmina est le nouveau projet musical de Giulia Campanella, alias DJ Tess, qui associe la musique électronique aux sons et aux rythmes de la tradition folklorique de l’Italie du Sud.
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