Azzecca, le talent de Chicago, continue de monter en flèche après avoir atteint les sommets en une année effrénée, et dévoile aujourd’hui son premier album chez DGTL Records : le trip acidulé, à la fois amusant et puissant, « It’s Strange », disponible le 23 mai 2024 sur le vénérable label hollandais.
Image mise en avant : © Azzecca
Azzecca aime ajouté une touche d’acide dans sa house, et son public dans son coin adore ça, tout comme dans son dernier single « Forget » sorti sur Another Rhythm : Jack Saunders de BBC Radio 1 était fan de son côté tranchant, Danny Howard a présenté son mini mix « Evolution of Acid », et d’autres noms puissants comme Sarah Story, Arielle Free, Mixmag, SPIN, DJ Mag ont également soutenu son ascension incessante.
Commander/streamer le single « It’s Strange » d’Azzecca via DGTL Records
Concernant « It’s Strange », ce morceau est de l’acide à l’état pur, avec des beats chargés et ce synthétiseur de basse rapide et piétiné que l’on peut sentir, rappelant l’acid house du milieu des années 80 née dans sa ville natale. Un vox pop trippant de voix parlées tout au long de « talk in technicolour ».
À propos de son dernier single, Azzecca a expliqué:
« C’est étrange, mais j’aime ça… Je voulais faire quelque chose d’insolent et d’amusant pour les pistes de danse de l’été. J’ai beaucoup aimé jouer avec des sons acides analogiques et utiliser mes propres voix. Ce morceau est un petit trip acide, à propos d’un petit trip acide, et la deuxième goutte illumine les dancefloors depuis des mois maintenant. »
La sortie de « It’s Strange » est entrecoupée d’une série de concerts spectaculaires pour Azzecca : deux sets récents au Do LaB de Coachella, et des sets à venir au Floyd (Miami), Movement Festival (Detroit), Audio River Festival (PL), The Midway (SF), Radio 1 Dance Ibiza (aux côtés de LF System, CamelPhat, Gorgon City, Armand van Helden), Brooklyn Mirage et l’ARC Festival dans sa ville natale, Chicago.
À propos d’Azzecca
Allie DeCastris, alias Azzecca, basée à Chicago, apporte de la techno, de la house et de la dark dance à ses sets énergiques et bien pensés : « J’aime personnellement la juxtaposition entre l’euphorie et l’obscurité dans la musique ». En moins d’un an, après la diffusion de son titre « Other Side » en 2022, la productrice de Chicago s’est lancée à fond. Elle a été élue artiste Radar du mois par Beatport, a reçu le soutien de Pete Tong sur Radio 1 sous la forme de spins et d’un mix de 30 minutes, ainsi que des spins de Danny Howard et Sarah Story, a participé à une première série de festivals d’été tels que HARD Summer, Neon Garden @ EDC Vegas, Electric Forest, a été la tête d’affiche de salles légendaires telles que Stereo Montreal, Halcyon SF…. tout en sortant sur des labels couvrant tout le spectre des sons underground, de Maccabi House d’Adam Ten à REALM de Gorgon City, en livrant un remix brûlant de « Still Rushing » de TIBASKO, tout en développant ses événements Chicago « Dirty Disco » axés sur les femmes.
Depuis, elle n’a cessé de monter, avec des concerts importants au Brooklyn Mirage, au CRSSD Festival, au Seismic Dance Event, au Sziget Festival en Hongrie, au Sound LA, à Portola, au Club 04 Haifa, au Splash House, au Warehouse Project, à Fabric London, à Printworks, au Floyd Miami, au It’ll Do Dallas… partageant la scène avec Jamie Jones, Camelphat, Adam Ten, Gerd Janson, ANNA, Charlotte De Witte, Overmono, Jon Hopkins, DJ Tennis, Seth Troxler et bien d’autres. En ce qui concerne les sorties, des labels comme Maccabi House, REALM, Higher Ground, Another Rhythm se sont emparés de joyaux tels que « Ego Death », « Other Side », « Aerial Phenomenon », « U Fool » et « Tell That Boy ». Les productions d’Azzecca, qui modifient les genres, sont parfaites pour les systèmes de clubs massifs.
Concernant la création musicale, Azzecca a déclaré :
« Mon son est toujours sombre et sexy, mais j’expérimente beaucoup de genres et de vibrations différents. Mes sets sont dynamiques, j’aime surprendre la foule. Je commence mes propres morceaux par une ligne de basse, un lead ou un échantillon vocal, et j’aime utiliser des arpèges funky. Mes goûts musicaux variés me donnent une polyvalence extrême en tant que DJ/producteur, résultant d’influences précoces telles que les éléments durs, mais émotionnels de l’électro-rock. »
Azzecca cite parmi ses premières influences Massive Attack, Portishead, Nightmares on Wax, Little Dragon, Bjork, Pink Floyd, et « j’ai toujours été très attirée par les sons électro-rock de Bristol ». Née dans une famille de musiciens et assistant à des concerts de rock dès son plus jeune âge, elle a grandi en jouant de la flûte, du piano basse et du piano. Elle a commencé à faire du DJing et de la production comme passe-temps, jusqu’à ce que la remise en question forcée du confinement lui permette de faire du DJing pour de petites soirées qui ont attiré l’attention de promoteurs, tandis que Higher Ground de Diplo a fait sortir son premier single et son premier EP, et qu’elle a lancé ses soirées, « Dirty Disco ».
Les soirées qui se poursuivent et se développent, sont des fêtes féminines qu’elle a lancées dans des clubs de Chicago pour répondre à un besoin qu’elle avait identifié, à savoir des espaces où les femmes pouvaient s’habiller et se sentir bien sans subir d’attention importune. Alors que sa carrière monte en flèche, Azzecca a pour objectif de conquérir de nouveaux territoires, de repousser les limites musicales et de faire tourner Dirty Disco pour continuer à donner une plateforme aux artistes underground émergents qu’elle aime.
Commander/streamer le single « It’s Strange » d’Azzecca via DGTL Records